Informations en continu

Réception de salles de classe construites par BOA-Niger à travers sa fondation  Améliorer les conditions d’apprentissage des élèves

Tamtaminfo - 26/11/2023

La fondation boa Niger a marqué le premier trimestre de l’année scolaire 2023-2024 par des actions salvatrices au profit de l’école nigérienne.
Parmi cette série d’actions de la fondation boa Niger, l’on peut citer la remise officielle d’un bloc de deux (02) salles de classes construites ainsi qu’une salle de classe rénovée, toutes équipées et d’un bloc de deux sanitaires au profit des élèves du CEG de Karma ; la remise officielle de clés de deux blocs de deux salles de classes construites et entièrement équipées et deux blocs de sanitaire, au profit des écoles Garin Mallam Nord et le CEG 4 de Mirriah, et la clôture d’un programme de financé par BOA pour former 120 jeunes diplômés inactifs de la région de Zinder, visant à leurs fournir des compétences supplémentaires pour être plus compétitifs sur le marché du travail, etc.

Lors de la cérémonie de réception des salles de classe à Karma, le mardi 21 novembre dernier, le représentant de la Fondation Bank Of Africa Niger, M. Ibrahim ALOU MAINASSARA a au nom du Président de la Fondation BOA, du Directeur Général et de l’ensemble du Personnel de la BANK OF AFRICA salué et remercié l’ensemble des clients de la BOA. Il a particulièrement  félicité les acteurs ayant pris part à cette cérémonie de remise d’un bloc de deux (02) salles de classes construites ainsi qu’une salle de classe rénovée, toutes équipées et d’un bloc de deux sanitaires au profit des élèves du CEG de Karma.

Selon M. Ibrahim ALOU MAINASSARA ces multiples actions de la BOA sont des actes symboliques certes, mais c’est aussi l’occasion pour saluer tous les efforts du gouvernement pour offrir un meilleur avenir aux enfants.

« À travers cet appui au profit des élèves de KARMA, le Groupe BANK OF AFRICA, par le biais de sa Fondation au Niger concrétise une fois de plus sa proximité et son engagement auprès des populations. Bien que les actions de la Fondation BOA, dans le domaine de l’éducation, ne soient plus à rappeler, permettez-moi d’évoquer juste quelques-unes qui ont précédées celle de ce jour ; notamment : la remise officielle de clés de deux blocs de deux salles de classes construites et entièrement équipées et deux blocs de sanitaire, par la Fondation BOA au profit des écoles Garin Mallam Nord et le CEG 4 de Mirriah, le 01 Novembre 2023 ; le financement à Zinder, d’un programme de formation de 120 jeunes diplômés inactifs de ladite région, visant à leurs fournir des compétences supplémentaires pour être plus compétitifs sur le marché du travail, débuté en septembre 2022 et clôturé le 02 novembre 2023 » a rappelé le représentant de la BOA avant de préciser que les enfants d’aujourd’hui sont les futurs leaders et protecteurs de la nation dans tous les pays, d’où la nécessité et la responsabilité de leur assurer une éducation digne du nom.
Notons que l’acquisition de ces joyeux construits en matériaux définitifs et entièrement équipés et les autres actions connexes financées par la Fondation BANK OF AFRICA viennent à point nommé en cette période de rentrée des classes pour améliorer les conditions d’apprentissage des élèves.

An 3 du décès du l’ancien président Tanja : le MPCR rend hommage à l’illustre disparu

Tamtaminfo - 26/11/2023

A l’occasion de l’an 3 de la disparition de l’ancien Président de la République, Mamadou TANJA, le Mouvement pour la Promotion de la Citoyenneté et de la République (MPCR) a rendu publique, ce vendredi 24 novembre 2023 à son siège, une déclaration pour honorer la mémoire d’un grand patriote, l’ancien président Tandja.

C’est à travers une déclaration de presse lue par M. Nouhou MAHAMADOU ARZIKA, Président du mouvement que le MPCR commémore le 3ème anniversaire de la disparition de l’ancien Président TANJA qui a tiré sa révérence le 24 novembre 2020 de suite d’une longue maladie.
Tandja est né en 1938 à Mainé-soroa dans la Région de Diffa, officier des FAN, membre du Conseil militaire suprême (CMS) et président du parti politique le Mouvement National pour la Société de Développement (MNSD-Nassara) du 5 novembre1991 au 20 décembre1999, Mamadou TANJA a été élu président de la République du 22 décembre 1999 au 18 février 2010 où il a été renversé par un coup d’État.  

Tanja est décédé à la suite d’une longue maladie le 24 novembre 2020 à Niamey. 

”Ce jour 24 novembre 2023, cela fait exactement trois ans, jour pour jour, que l’ancien Président de la République M. Mamadou TANJA nous a quitté physiquement à tout jamais à cause de la mort qui l’avait surpris à cette fatidique date qui restera à jamais gravée dans la mémoire collective des Nigériennes et des Nigériens, des villes et des campagnes ainsi que la communauté internationale, a déclaré le président du MPCR. 

Selon Nouhou Arzika cet anniversaire intervient à un moment où ”notre peuple est en lutte pour l’affirmation de sa souveraineté et la sauvegarde de la patrie face aux mesures injustes, illégales et inhumaines de la CEDEAO et de l’UEMOA suite aux évènements du 26 juillet 2023 avec l’avènement du CNSP qui a décidé de mettre fin au règne de l’oligarchie prédatrice qui a pris en otage notre processus démocratique et mis le pays sous coupe réglée”.

A cet égard, a poursuivi M. Nouhou ARZIKA, le peuple dans son ensemble s’est mobilisé stoïquement pour soutenir de jour comme de nuit le CNSP dans sa volonté de porter le combat citoyen de l’affirmation de la souveraineté et de la denonciation des accords de defense fantaisistes, mitoyens avec la France pour le retrait sans condition de leurs bases militaires de notre pays. 

”Telle est la situation actuelle de notre pays en ce jour de souvenir et d’hommage citoyen que nous rendons au président Mamadou TANDJA, qui avait fait preuve d’un patriotisme sourcilleux en son temps dans la recherche des solutions aux multiples préoccupations des populations des villes et des campagnes à travers des initiatives d’actions salvatrices et même révolutionnaires pour oser envisager la refondation de la République,” a-t-il relevé.  
Le président du MPCR conclut en Rendant un hommage citoyen et patriotique amplement mérité à ce digne fils du Pays qui avait porté haut l’étendard de l’éthique et du sens de la responsabilité dans la gestion des affaires de l’Etat en démocratie citoyenne respectueuse des aspirations profondes et dynamiques du peuple souverain.

Rappelons que, la fatiya de l’anniversaire de feu TANJA serait faite à son domicile.

Au Niger : quand la politique perd sa quintessence, c’est le pays qui en pâtit

Tamtaminfo - 26/11/2023

“Notre pays est riche, il a beaucoup de ressources, mais il est confronté à plusieurs défis du développement.” C’est cette rengaine que beaucoup de Nigériens répètent couramment et qui dénote à tout point de vue, leur aspiration au développement. En conséquence, si tant est que nous voulons développer le Niger, il est utopique de penser que les défis peuvent être relevés par une partie de la population. En effet, le Niger a besoin des efforts conjugués de tous ses citoyens. Aujourd’hui plus que jamais, avec la situation de crise que traverse notre pays, s’il y a un défi qui doit nous interpeller, c’est celui de l’instabilité politique liée au phénomène récurrent de l’interruption forcée de notre processus démocratique. Nous avons donc le devoir de créer les conditions de l’enracinement de la démocratie dans notre pays, car elle nous offre un environnement propice pour participer librement à la vie politique de la cité.

Lorsque la démocratie et la bonne gouvernance se pérennisent, la stabilité et le progrès sont au rendez-vous. C’est pourquoi le parachèvement du processus démocratique et la moralisation de la scène politique doivent aller main dans la main. Bien sûr que pour les nigéro-pessimistes, cette synchronisation est utopique à cause du dévoiement de la démocratie et de la politique dans notre pays. Il faut pourtant, s’inscrire dans la logique du changement qui est le seul gage de l’amélioration substantielle des conditions de vie du plus grand nombre.

Depuis l’enclenchement du processus démocratique, du 09 février 1990 à nos jours, en passant par la Conférence Nationale Souveraine, ça fait plus de trois décennies que les Nigériens sont dans la ferveur politique avec la prolifération des partis politiques et la politisation tous azimuts de la société. A l’instar de nombreux pays dans le monde, au Niger, les citoyens jouissent de la liberté de discuter de tout ce qui a trait à la vie du pays. Ils défendent leurs opinions selon leurs orientations idéologiques ou dans la plupart des cas, selon leurs intérêts particuliers. En politique, s’il y a une chose qu’ils professent unanimement, c’est l’amour de la patrie. Toutefois, les évènements et les situations révèlent certains et démasquent d’autres.

Dans son essence, la politique est noble, elle est fondamentale pour la société; elle vise à la rendre juste, égalitaire, libre, solidaire et prospère. Pour bien faire de la politique, il faut connaître, comprendre et satisfaire les aspirations du peuple. Dans cette optique, Il va sans dire qu’il faut être animé par un sens élevé de civisme et par la volonté de servir son pays et non se servir de son pays pour se servir. Tel n’est pourtant pas le cas dans notre pays; la politique est pervertie, elle sert plus les individus que le pays. La courtisanerie et l’opportunisme se sont répandus dans la sphère politique. Malheureusement, ces antivaleurs sont tolérées et encouragées par les gouvernants.

Les partis politiques qui sont incontournables en démocratie et qui ont pour but la conquête ainsi que l’exercice du pouvoir se caractérisent, dans la plupart des cas, par leur manque de programmes et de projets de société. C’est d’ailleurs ce qui explique leur incohérence dans les choix qu’ils opèrent et leur versatilité dans les relations qu’ils entretiennent, ce qui donne lieu à des compositions, des décompositions et des recompositions des alliances. En outre, ils souffrent d’un manque de démocratie interne qui a des effets négatifs sur la gestion démocratique de la cité. Dans beaucoup de partis, les réunions et les concertations sont quasi inexistantes; là où elles existent, les contradictions et les contestations sont étouffées. Évidemment que dans une telle situation les réflexions et les bonnes initiatives se raréfient.

Du fait de l’imposture, de l’inculture et de l’absence de la formation politico-idéologique, une majeure partie des membres des bureaux et des militants de base ignorent ou bafouent les fondements idéologiques de leurs partis. Avec un tel comportement, il est indéniable que leur militantisme est sujet à caution et leurs motivations d’adhésion sont subjectives. Ce n’est d’ailleurs pas surprenant que la fausseté supplante l’honnêteté et que l’opportunisme évince le militantisme. Cet état de fait développe une tendance éhontément arriviste, clienteliste et affairiste dont les tenants sont de plus en plus nombreux et plus coriaces. En réalité, ils abusent de la politique, car elle leur sert de refuge, de tremplin et de bouclier.

C’est vrai qu’un adage dit qu’il faut de tout pour faire un monde; le monde politique nigérien est aussi fait de tout et c’est un monde où tout se fait, souvent au détriment du peuple. Ainsi, les gens s’accomodent d’une relation factice dans laquelle ils ont des conceptions dissemblables de la politique. Bien évidemment, dans un tel contexte, le bien et le mal ne peuvent pas ne pas se côtoyer et se bousculer. Les conditions du triomphe du bien sur le mal n’étant pas encore créées, il va de soi que cette situation constitue un obstacle rédhibitoire au développement du pays. C’est la raison pour laquelle l’assainissement des mœurs politiques est une nécessité absolue.

Au vu de l’ampleur et de la profondeur du pervertissement de la politique dans notre pays, la solution ne peut pas se décréter, elle n’est pas non plus entre les mains de quelques personnes et ne peut pas intervenir d’un coup de baguette magique. Certes, des réflexions ont été faites, mais les dispositions nécessaires n’ont pas été prises. Les citoyens qui croient au changement doivent s’investir et travailler en synergie pour éveiller les consciences en vue de susciter une mobilisation permanente autour de la politique de l’intérêt général.

Les mentalités et les comportements peuvent être un atout, tout comme ils peuvent être un handicap. De ce point de vue, nous sommes tous concernés. Si nous voulons sortir du rêve du développement pour être dans sa réalité, la politique doit garder sa quintessence, quand elle la perd, c’est le pays qui en pâtit. Dans ce cas, la situation oblige de revenir aux fondamentaux, d’où la nécessité pour les Nigériens en général et en particulier les différents acteurs de la démocratie qui structurent et influencent la vie politique de prendre le problème à bras-le-corps. Ainsi, chacun va jouer sa partition, surtout les partis politiques peuvent servir de locomotive pour la stabilité et le développement.

Retour au pays du président Tchiani de la visite d’amitié et de travail au Mali et au Burkina-Faso.

Tamtaminfo - 26/11/2023

Le Président du Conseil national pour la sauvegarde de la patrie (CNSP), Chef de l’Etat, le Général de Brigade Abdourahamane TIANI a regagné Niamey, venant de Ouagadougou après une visite d’amitié et de travail dans le pays des hommes intègres.

Cette visite s’est achevée sur une note de satisfaction et de reconnaissance au Président de la Transition, Chef de l’Etat, le Capitaine Ibrahim TRAORE et au peuple burkinabè pour la solidarité et le soutien manifestés au peuple nigérien.
Le séjour burkinabé après l’étape de Bamako a permis aux deux Chefs d’Etat d’échanger sur des perspectives de renforcement de l’excellente coopération bilatérale et celle entre les trois pays de l’Alliance des Etats du Sahel (AES).
Dans le communiqué final, les présidents TIANI et TRAORE ont réaffirmé leur volonté d’unir leurs forces pour relever le défi de la souveraineté et du développement économique et social de leur Nation dans un monde multipolaire avec pour seule boussole, les intérêts supérieurs de leurs peuples.

Le Président de la Transition, Chef de l’Etat le Capitaine Ibrahim TRAORE, a eu un tête-à-tête en début de soirée avec le Président du Conseil national pour la sauvegarde de la Patrie, Chef de l’Etat du Niger, le Général de Brigade Abdourahamane TIANI, en visite d’amitié et de travail dans notre pays.

La rencontre entre les deux chefs d’Etat a été marquée par une séance de travail élargie aux délégations des deux parties. Pour le Général de Brigade TIANI, cette visite d’amitié et de travail vise surtout à « remercier et exprimer notre gratitude, la gratitude du Conseil national pour la sauvegarde de la patrie, la gratitude du gouvernement et du peuple nigérien envers Monsieur le Président de la Transition et son gouvernement, envers l’ensemble du peuple burkinabè pour les soutiens multiples ».

Selon le Chef de l’Etat du Niger, ce soutien du peuple burkinabè et de ses autorités a permis à son pays de résister face aux menaces de la CEDEAO d’attaquer le Niger et de faire face à l’embargo de l’institution imposé au Niger. Il a salué la déclaration conjointe du Burkina Faso et du Mali en soutien au Niger et la création de l’Alliance des Etats du Sahel (AES) qui permet désormais aux trois pays de faire face à tout agresseur contre l’un des trois.

Le Chef de l’Etat nigérien a reconnu la nécessité pour les trois pays de conjuguer les efforts pour défendre leur « terre promise », qu’est le Sahel, une zone pleine de potentialités pour la construction d’un développement harmonisé entre ces pays.

Pour sa première sortie à l’extérieur, le chef de l’état nigérien a choisi ces deux pays frères et amis avec lesquels, Niamey entretient d’excellentes relations depuis les événements du 26 juillet dernier.

Situation sécuritaire dans la région de Tillabéri: le gouvernement condamne la déclaration du " Comité Union Tillabéri ", le coordinateur de l'association interpellé

Actuniger Société - 03/05/2023


Dans un communiqué dans la soirée du mardi 02 mai 2023 le gouvernement a réagi à la déclaration publique de l'association "Comité Union Tillabéri Pour la paix, la Sécurité et la Cohésion Sociale" du 29 avril dernier dans laquelle les auteurs ont affirmé que, "Le déploiement des Forces étrangères notamment françaises sur les frontières du Burkina Faso et du Mali à partir de notre territoire avec à leurs côtés les mercenaires Tchadiens est fait dans la perspective de lancement d’attaque contre ces deux pays frères et amis". Pour le gouvernement, "ces allégations ne peuvent être tolérées au nom de la liberté d’expression ou d'associations" et a donc décidé de saisir la justice. Selon les informations confirmées par les responsables de l'association, son coordinateur Amadou Arouna Maiga a été interpellé ce même mardi par la Police judiciaire (PJ).

{loadposition pub1}

Forum PRESASS 2023: les grandes tendances de la saison des pluies 2023 pour les zones soudanienne et sahélienne révélées

Actuniger Société - 01/05/2023

Le Palais des Congrès de Niamey a abrité le vendredi 28 avril 2023, l'édition 2023 du Forum annuel de présentation des résultats  des Prévisions Saisonnières des caractéristiques Agro -hydro-climatiques de la grande saison des pluies pour les zones Soudanienne et Sahélienne (PRESASS-2023) à l'initiative du Centre Climatique Régional pour l'Afrique de l'Ouest et le Sahel (CCR- AOS AGRHYMET) et du Centre africain des applications météorologiques pour le développement (ACMAD) en collaboration avec plusieurs institutions et partenaires. Les prévisions saisonnières révèlent une saison des pluies 2023 globalement moyenne à humide attendue au Sahel, avec des dates de démarrage précoces à normales, des dates de fin tardives à normales, des séquences sèches moyennes dans la partie Ouest et à tendance plus longues dans la partie Est et des écoulements globalement excédentaires à moyens dans les principaux bassins fluviaux du Sahel.

{loadposition pub1}

Syndicate content