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Les présidents russe et nigérien s'entretiennent du renforcement de la coopération sécuritaire - Anadolu Agency | Français
Entretien téléphonique entre le président de transition du Niger et le président russe Vladimir Poutine - MALI - maliweb.net
Sahel : Dialogue bilatéral entre le Niger et la Russie pour le renforcement de la coopération multisectorielle et sécuritaire - Sahel Intelligence.com
Niger: ce que Tchiani et Poutine se sont dit - La Nouvelle Tribune
Entretien téléphonique entre le Président du CNSP et le Président de la Fédération de Russie : Les deux Présidents échangent sur un projet de coopération multisectorielle et globale entre les deux pays
Le Président du Conseil National pour la Sauvegarde de la Patrie, Chef de l’Etat, le Général de Brigade Abdourahamane Tiani a eu, hier 26 mars dans la matinée, un entretien téléphonique avec le Président de la Fédération de Russie, Vladimir Poutine.
Les échanges entre les deux Chefs d’Etat ont porté sur des questions nationales et internationales d’intérêt commun aux deux pays. A l’entame des échanges, depuis son Cabinet, le Président Abdourahamane Tiani a réaffirmé, de vive voix, ses condoléances à son homologue Russe, suite à l’attentat tragique du 22 mars dernier à Moscou. Le Chef de l’Etat a réitéré ses félicitations au Président Vladimir Poutine pour sa réélection à la tête de la Fédération de Russie.
M. Vladimir Vladimirovitch PoutineLa relation bilatérale entre les deux pays est, faut-il le rappeler, marquée récemment par le soutien apporté au Niger par la Fédération de Russie dans sa lutte pour la souveraineté nationale. Le Chef de l’Etat AbdourahamaneTiani en est reconnaissant et a tenu à exprimer, à cette occasion, sa gratitude au Président Poutine. Après des échanges francs sur la nécessité de renforcer la coopération sécuritaire entre la Fédération de Russie et le Niger pour faire face aux menaces actuelles, le Général de Brigade AbdourahamaneTiani a finalement évoqué avec son homologue le ‘’Projet d’une coopération stratégique multisectorielle et globale’’ avec la Fédération de Russie, une coopération bénéfique pour les deux pays.
Cet entretien téléphonique s’est déroulé en présence du Premier ministre, ministre de l’Économie et des Finances M. Lamine Zeine Ali Mahaman, du ministre d’État, ministre de la Défense Nationale, du ministre d’État, ministre de l’Intérieur, de la Sécurité Publique et de l’Administration du Territoire, du ministre des Affaires Étrangères, de la Coopération et des Nigériens à l’Extérieur et du ministre-Directeur de Cabinet du Président du Conseil National pour la Sauvegarde de la Patrie.
Ismaël Chékaré (ONEP)
A la Primature : Le Premier Ministre reçoit une délégation de la BCEAO
Lors de la rencontre qui s'est tenue hier, le mardi 26 mars 2024, au cabinet du Premier ministre et ministre de l'Économie et des Finances, M. Lamine Zeine Ali Mahaman, une délégation conjointe de la Banque Centrale des États de l'Afrique de l'Ouest (BCEAO) et de l'Agence UMOA Titres, dirigée par M. Djibril Diaw, Directeur des Opérations de marché au bureau central de Dakar, a été accueillie. Les discussions entre le Premier ministre et cette délégation ont essentiellement porté sur l'évaluation de la dette des marchés au Niger.
Cette réunion revêt une importance capitale dans le contexte économique et financier actuel du Niger. L'évaluation de la dette des marchés est une étape cruciale pour évaluer la santé économique du pays et pour déterminer les stratégies à adopter pour gérer efficacement cette dette. La présence de hauts représentants de la BCEAO et de l'Agence UMOA Titres témoigne de l'importance accordée à cette question par les institutions financières régionales.
Le Premier ministre, en sa qualité de ministre de l'Économie et des Finances, s'est engagé à collaborer étroitement avec la BCEAO et l'Agence UMOA Titres pour garantir une évaluation précise et exhaustive de la dette des marchés au Niger. Cette démarche s'inscrit dans le cadre d'une gestion responsable des finances publiques et vise à assurer la stabilité économique du pays.
Il est probable que cette réunion soit le point de départ de discussions plus approfondies et de collaborations renforcées entre le gouvernement nigérien, la BCEAO et l'Agence UMOA Titres. Ensemble, ces partenaires travailleront à élaborer des stratégies efficaces pour gérer la dette des marchés et promouvoir le développement économique durable au Niger.
Boubacar Guédé (Nigerdiaspora)
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Niger-Russie : Tiani et Poutine se sont entretenus pour « renforcer » leur coopération sécuritaire - Jeune Afrique
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Au grand dam de la France, le Niger encore plus soudé avec la Russie ; voici la raison - YOP L-FRII
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Niger: Tiani et Poutine échangent pour «renforcer» la coopération sécuritaire - Le Figaro
Accords de défense illégaux avec les USA : Un acte de haute trahison, Tiani face à un dilemme
‘’Nous ne voyons pas comment monsieur Hama Amadou peut-il échapper à la justice de son pays ?’’, se plaisait à narguer, nous ne savons plus si c’est Massoudou Hassoumi ou Bazoum Mohamed, les deux lieutenants belliqueux de Issoufou Mahamadou dès qu’ils abordent l’affaire dite ‘’des bébés importés du Nigéria’’, ce odieux complot ourdi par le PNDS Tarayya pour écarter le président Hama Amadou de toute compétition électorale, après l’avoir jeté en prison à Filingué pendant de longs mois sur la base de faux et de manipulation de la justice.
Tout a une fin en ce bas monde. Seul le pouvoir divin est éternel, intemporel. Obnubilés par la puissance du pouvoir d’Etat, Massoudou, Bazoum, bref tous les caciques du parti rose se sont profondément égarés au point de croire que plus rien ne pouvait inquiéter leur régime, qu’ils vont diriger le pays sans partage, à tour de rôle, plusieurs décennies durant, parce qu’ils ont dompté toutes les corporations socio-professionnelles, y compris le forces de défense et de sécurité (FDS).
C’est fini ! Ils l’ont perdu depuis le 26 juillet 2023 avec le putsch militaire qui a renversé le président Bazoum et a ouvert une nouvelle transition militaire contre vents et marées. Le PNDS Tarayya a brutalement perdu le pouvoir par surprise et pour de bon, serait-on tenté de croire, au regard de la profondeur de l’abîme dans laquelle leur gestion a plongé notre pays.
Durant leurs 12 ans et demi de règne, ils ne sont pas limités à la perpétuation et l’amplification des pratiques malsaines de gestion, tels que les détournements de deniers publics, la compromission de nos ressources extractives, le favoritisme, le clanisme, la violation répétée de la constitution, etc. Non ! L’ancien président Issoufou Mahamadou est arrivé à un stade d’aveuglement où il a pris le pays comme sa propriété privée au point d’y autoriser l’implantation de forces militaires étrangères, sans l’aval de l’Assemblée nationale, en violation flagrante de la constitution qui fonde la démocratie et sur laquelle repose son propre pouvoir.
Y a-t-il haute trahison plus grave comme cet acte ? A peine après avoir pris fonction à la tête de l’Etat en 2011, le président Issoufou Mahamadou et Bazoum Mohamed [à l’époque ministre des Affaires étrangères] à qui il a passé le relais en 2021, ont autorisé secrètement l’implantation de l’armée américaine sur notre territoire, selon des clauses léonines, sans le moindre avantage pour le Niger.
Il s’agit d’une renonciation flagrante et choquante à la souveraineté de notre pays au 21e siècle, qui implique normalement des poursuites judiciaires à l’encontre de l’ancien président de la République et son ministre des Affaires étrangères. Face à la gravité de l’acte, des partisans du régime déchu tente désespérément de noyer le poisson en voulant faire croire que le processus d’implantation de l’armée américaine a débuté depuis la transition de Salou Djibo. Peine perdue ! Les dates mentionnées sur la note verbale et les clauses attestent bel et bien que c’est en 2012 l’accord a été conclu entre les deux parties.
A partir de cet instant, nous ne voyons pas comment l’ancien président Issoufou Mahamadou et le président déchu Bazoum Mohamed peuvent-ils échapper à la justice ? Le morceau est très gros pour que le Conseil national pour la sauvegarde de la patrie (CNPS) passe l’éponge dessus.
Le vin est tiré…
La junte militaire a volontairement dénoncé l’accord en montrant le bienfondé de sa décision, arguments à l’appui, exigeant le retrait sans délai des soldats américains de notre territoire. Les populations sont actuellement en ordre de bataille pour exercer la pression nécessaire sur la force militaire étrangère, comme ce fut le cas avec l’armée française. Dieu seul sait le temps que la bataille prendra pour aboutir.
Si l’ancien président de la République a bénéficié jusqu’ici d’un sursis relativement à des faits de malversations gravissimes et même un cas de parjure flagrant qu’il a eu à commettre au cours de son règne [la convocation du collège électoral en vue des législatives partielles à Maradi qu’il a annulée par la suite], concernant cet accord de défense militaire signé secrètement avec les Etats Unis d’Amérique au détriment des intérêts de notre pays, l’impunité ne saurait cette fois-ci prévaloir. La justice doit sévir parce qu’il s’agit d’un acte de haute trahison d’une extrême gravité, impardonnable dans n’importe quel pays au monde. Les populations tiennent à cela, Tiani doit faire droit à la sollicitation au risque de manquer à sa promesse faite aux Nigériens de ne pas trahir leurs aspirations légitimes. Au sein de l’opinion nationale, on le soupçonne à tort ou à raison de protéger l’ancien président de la République. Est-il prêt à prouver le contraire à la faveur de cet acte de haute trahison ? Il est en tout cas confronté à un véritable dilemme !
Tawèye (L'actualité)