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Gestion du pétrole : Le Cnsp et le gouvernement ont décidé de mettre un terme au laisser-aller des administrations Issoufou et Bazoum

Nigerdiaspora - 30/04/2024

Il n’y a jamais deux sans trois et le Conseil national pour la sauvegarde de la patrie (Cnsp) et le gouvernement de Mahaman Ali Lamine Zeine le confirment amplement dans leur volonté de réinventer les rapports entre l’État nigérien et ses partenaires. Des rapports corrompus par une gouvernance scabreuse de près de 13 ans où les intérêts du peuple nigérien étaient galvaudés et piétinés et que le Cnsp et le gouvernement s’attèlent à restaurer. Au prix fort puisque les pratiques, mauvaises et de toute évidence contraires aux intérêts du peuple nigérien, ont prévalu pendant plus d’une décennie. Le samedi 20 avril dernier, les Nigériens ont été à nouveau servis par un exemple du genre de la part du ministre du Pétrole, Mahamane Moustapha Barké Bako, qui a fait une mise au point avec les sociétés d’exploitation du pétrole et leurs soustraitants. Trois points essentiels ont été au menu de ces échanges entre le ministre du Pétrole et ses invités : les contrats conclus dans le cadre des activités quotidiennes desdites sociétés, le recrutement du personnel, sujet déjà abordé lors de la visite du ministre Barkéà Kulélé, ainsi que la gestion. Sur ces trois aspects entièrement laissés à la seule appréciation des partenaires sous Issoufou et Bazoum, le Cnsp et le gouvernement de Lamine Zeine ont décidé de mettre un terme au laisser- aller et de fixer les balises qui sont conformes aux règles. « Les choses ont changé et désormais tout être fait suivant les règles », a dit le ministre du Pétrole. Sur la question des contrats, le ministre Barké a informé ses interlocuteurs qu’à compter d’aujourd’hui, il leur est strictement interdit de contracter avec une entreprise non nigérienne pour une activité ou des travaux qu’une entreprise nigérienne est capable de réaliser ». Autrement dit, les entreprises d’exploitation et de gestion du pétrole nigérien ne peuvent plus, désormais, aller chercher en dehors du Niger des compétences qui existent au Niger pour la réalisation de travaux que des entreprises ou groupes d’entreprises nigériens sont en mesure d’exécuter. Outre qu’il a souligné que la mesure prend effet à partir du 20 avril, date de la tenue de la réunion au cours de laquelle il a fait l’annonce officielle, le ministre Barké a également indiqué que son département ministériel travaillera incessamment avec les partenaires afin de mettre en place un dispositif permettant de recenser réellement l’ensemble des contrats qui ont été déjà établis. L’objectif, c’est de faire le point de ce qui doit être résilié et confié à des entreprises nigériennes. Ce sera donc une opération coup de poing visant à remettre les Nigériens dans leurs droits de prétendre en premier aux offres de prestation sur le territoire national.

À propos du recrutement, un sujet de préoccupation majeure du Cnsp et du gouvernement de Lamine Zeine, le ministre Barké a rappelé à ses interlocuteurs qu’une mission conjointe des ministères du Pétrole et de la Fonction publique ont déjà enquêté sur le sujet à la Soraz, à Wapco, à la Cnpc et au niveau de leurs sous-traitants respectifs. « Nous vous avons déjà demandé de procéder à des recrutements directs et non à travers des sociétés de placement. Cela a-t-il été fait ? Rien n’est moins sûr. Le ministre Barké Bako a de toute façon annoncé, là aussi, la mise en place d’un dispositif qui aura pour mission de vérifier et de rendre cette mesure effective sur le terrain. « Je veillerai personnellement à l’application stricte du plan de «nigérinisation»progressive du personnel dans tous les domaines », a indiqué le ministre, non sans avoir rappelé que les résultats des audits précédents seront examinés en collaboration avec la Commission de lutte contre la délinquance économique, financière et fiscale (Coldeff) afin de vérifier le traitement qui en a été fait. Le souci du Cnsp et du gouvernement, c’est de s’assurer que les intérêts du Niger ont été protégés.

En ce qui concerne la question de la gestion, le ministre Barké a annoncé que sur décision du président du Cnsp, chef de l’État, des audits seront diligentés dans les tout prochains jours. Ces audits, apprend-on, seront conduits par des cabinets internationaux. Selon le ministre Barké, le but du Cnsp et du gouvernement est d’avoir une vision claire de ce qui a été fait jusqu’ici, avoir connaissance des manquements observés afin que des corrections appropriées soient faites sans délai.

Par delà ces trois mesures édictées, le ministre Barké a précisé à ses interlocuteurs que le chef de l’EÉtat a donné des instructions fermes pour qu’aucun coût pétrolier ne soit récupérable s’il n’est au préalable spécifié dans le contrat de partage de production (Cpp). Et dans la même logique qui a prévalu avec les contrats, les Cpp approuvés avec les administrations précédentes vont être annulésaprès contrôle. « S’il y a nécessité de réviser certains Cpp afin de prendre en compte les intérêts du Niger, nous le ferons », a dit le ministre Barkéqui a demandé aux directions générales de Wapco Niger et Bénin, de faciliter l’accès aux installations à la mission de contrôle qui se rendra dès demain, mardi 23 avril, à Sémè pour la vérification des quantités annoncées, le calibrage et l’inspection des bateaux, l’objectif étant de compléter les informations collectées par les inspecteurs placés sur les différents sites afin de s’assurer que les quantités effectivement déclarées sont bien celles qui sont enlevées.

Doudou Amadou (Le Canard en furie)

 

Mobilisation de l'Union des scolaires nigériens (USN)contre l'impérialisme et soutien au CNSP

Nigerdiaspora - 30/04/2024

Ce lundi 29 avril 2024, l'Union des scolaires nigériens a organisé une marche suivie d'un rassemblement pour demander le départ des forces américaines du Niger sans condition. Le secrétaire général de l'USN, M. Effreid Mouloul A’lhassan, a exprimé des préoccupations sur la situation mondiale actuelle, mettant en avant le désintérêt croissant pour l'humanité au profit d'une minorité privilégiée, et a salué la création de l'Alliance des États du Sahel pour promouvoir un Sahel prospère et respecté.

Il a souligné que cette initiative marque le début d'une nouvelle ère pour l'Afrique, exhortant la jeunesse à prendre conscience de son rôle dans la défense de l'Afrique contre l'impérialisme. L'USN s'engage à changer de perspective et à œuvrer pour l'indépendance du Niger. Le soutien de l'USN au Conseil National pour la Sauvegarde de la Patrie (CNSP) est réaffirmé, avec un appel à la révision des accords miniers et pétroliers jugés préjudiciables.

Le gouverneur de la région de Niamey a salué la mobilisation de l'USN et a transmis les salutations du général de brigade Abdourahamane Tiani. La manifestation a réuni plusieurs autorités, notamment le gouverneur, le directeur général de la police nationale, le directeur de la douane nationale et des représentants du CNSP.

Boubacar Guédé (Nigerdiaspora)

Célébration du 1er mai 2024 : Mme Aissatou Abdoulaye Tondi rend hommage aux travailleurs nigériens pour leur résilience et leur patriotisme

Nigerdiaspora - 30/04/2024

La célébration de la fête du travail intervient cette année dans un contexte particulier, marqué par un tournant décisif de l’histoire de notre pays. En effet, après les événements du 26 juillet 2023, le monde du travail a durement ressenti les effets des sanctions injustement imposées à notre pays. Dans le message qu’elle a livré, à la veille de ce 1er mai 2024, la ministre de la Fonction Publique, du Travail et de l’Emploi, Mme Aissatou Abdoulaye Tondi salue la résilience des travailleurs nigériens pour avoir vécu et surmonté la situation. Elle rend, à cet effet, un hommage appuyé aux partenaires sociaux du monde du travail, qui ont en plus su marquer leur soutien effectif au Conseil National pour la Sauvegarde de la Patrie (CNSP), pour un Niger libre, digne, souverain et prospère.

Selon, la ministre de la Fonction Publique, du Travail et de l’Emploi, au cours de la période écoulée, le Niger a réalisé plusieurs actions visant l’amélioration de la gouvernance aussi bien dans le domaine de la fonction publique que celui du travail, de l’emploi et de la protection sociale. Conformément à sa feuille de route, Mme Aissatou Abdoulaye Tondi cite, sans être exhaustive, entre autres, la réforme du Statut Général de la Fonction Publique de l’Etat en vue de satisfaire à certaines doléances exprimées par les travailleurs ; le suivi de la mise en œuvre des protocoles d’accord signés entre le gouvernement et les partenaires sociaux ainsi que la poursuite des actions permanentes visant l’amélioration des conditions et du milieu de travail. En termes de perspectives et conformément à la vision des plus hautes autorités de notre pays, « la mise en œuvre du Programme de Résilience pour la Sauvegarde de la Patrie par le Gouvernement permettra de créer les conditions pour la réduction durable des inégalités au sein des populations et le renforcement de la cohésion sociale », indique la ministre de la fonction publique, du travail et de l’emploi.

Mme Aissatou Abdoulaye Tondi a ensuite évoqué, un imminent décret fixant le nouveau Salaire Minimum Interprofessionnel Garanti (SMIG). Et, souligne-t-on, une nouvelle Politique Nationale de l’Emploi est envisagée afin de créer les conditions de promotion du plein-emploi productif et de réduction des inégalités d’accès à l’emploi. Aussi, une stratégie de « nigérisation » des postes de travail notamment dans les secteurs pétrolier, minier et énergétique, sera bientôt mise en œuvre en vue de résorber le flux de demandeurs d’emplois estimés selon les données de l’Agence Nationale pour la Promotion de l’Emploi à environ 51.847 pour 9.395 offres satisfaites en 2023. La ministre a indiqué que le chômage constitue « une préoccupation » du Président du Conseil National pour la sauvegarde de la Patrie, Chef de l’Etat, Chef de l’Administration, le Général de Brigade Abdourahamane Tiani.

Toutes ces actions ont pour but, explique-t-on, de contribuer au développement économique et social de notre pays et à l’apaisement du climat social dans le cadre du renforcement des relations professionnelles saines et harmonieuses. Cela, après que bon nombre de secteurs d’activités, aient subi un ralentissement des activités économiques, avec comme conséquence une dégradation de la situation de l’emploi voire une dégradation des relations professionnelles, pendant des mois, sous les sanctions économiques prises à l’encontre de notre pays, suite aux événements du 26 juillet. « Ces sanctions, loin d’émousser la volonté de reconquête de la souveraineté de notre Peuple, ont plutôt mis en lumière sa grandeur et sa détermination à résister aux actes de pression d’où qu’elles viennent », déclare la ministre avant de rendre un hommage mérité aux travailleurs pour leur résilience face à la situation et le soutien patriotique qu’ils ont pu exprimer au CNSP.

Ismaël Chékaré (ONEP)

 

Conférence du CNJ sur la Jeunesse et la souveraineté : Le savoir, l’arme ultime pour acquérir et préserver la souveraineté

Nigerdiaspora - 30/04/2024

Le Conseil National de la Jeunesse du Niger (CNJ) a organisé le vendredi dernier, une conférence sur « Le rôle de la jeunesse dans la conquête de la souveraineté dans l’espace de l’AES ». Animée par trois panélistes, la conférence a enregistré la participation du président du Conseil National de la Jeunesse du Burkina Faso, M. Moumouni Dialla et de celui du Mali, M. Sidi Ali Ould Bugne.

Dans son mot introductif, le président du Conseil National de la Jeunesse du Niger, M. Sidi Mohamed, a souligné que la présence de ses homologues des deux pays frères s’inscrit dans la droite ligne de la volonté des trois chefs d’État d’unifier leurs efforts à travaers l’Alliance des États du Sahel.
« Nous, en tant qu’organisation de jeunesse de ces trois pays, nous ne pouvons que leur emboîter le pas pour que cette organisation soit une réalité, car désormais nous avons un destin commun», a-t-il indiqué. « Si aujourd’hui, il y a une révolution des mentalités, ça se fera avec la jeunesse ou ça ne se fera pas. Nous représentons plus de 70 % de la population. Or la jeunesse est à l’avant-garde de toute réussite», a martelé le président du CNJ du Mali, M. Sidi Ali Ould Bugne. Selon le président du conseil national de la jeunesse du Burkina Faso, si nos États veulent être forts, solides et si nous voulons un système qui résiste dans le temps, nous avons tous l’obligation de construire une jeunesse épanouie, émancipée qui comprend les enjeux du moment.
« Comme un adage de chez nous le dit, ce n’est pas à la veille de la bataille qu’on nourrit le cheval. Mettre la jeunesse en marge serait de construire une belle maison sans fondation pérenne et nous souhaitons que l’AES soit un progrès pour avancer, c’est pourquoi il faut outiller les jeunes», a-t-il souligné.

En effet, dans leur analyse de la thématique, les panélistes ont soulevé les défis que doit relever la jeunesse si elle aspire à une vraie souveraineté. Ainsi, dans leurs argumentaires, ils ont énuméré, la recherche du savoir, la formation politique, la participation aux prises de décision. En quelques mots, la jeunesse selon les panélistes, doit être questionneuse, elle doit s’interroger, interroger son présent et son passé pour envisager l’avenir. Elle doit également s’instruire, se réconcilier avec elle-même, avec ses racines, son histoire et sa culture. « Une jeunesse africaine en quête de souveraineté doit déconstruire tous les mythes, détruire tous les complexes infériorisant qu’on lui a inculqué », a précisé le Professeur Moumouni Farmo, enseignant chercheur à l’Université Abdou Moumouni (UAM) de Niamey.

Les domaines prioritaires dans lesquels la jeunesse peut jouer un rôle déterminant dans la conquête de la souveraineté sont, selon Pr Moumouni Farmo, la question de la sécurité et de la défense et celle de la paix sans laquelle aucun développement n’est possible. La souveraineté énergétique qui attend d’être boostée pour, à son tour, assurer l’essor du développement économique et social, la souveraineté alimentaire qui attend son heure pour anéantir la mentalité d’assister, pour rompre le cercle vicieux de l’aide, pour affirmer la dignité des populations de l’AES. La souveraineté monétaire qui s’impatiente, elle veut mettre fin à la tyrannie du CFA ; la souveraineté politique qui exige de sortir du mimétisme et de la parodie, une manière originale d’organiser nos sociétés et de pratiquer la démocratie.

S’agissant de la question monétaire, les panélistes ont rappelé qu’en cette ère du 21ème siècle, l’Afrique de l’Ouest demeure la seule région au monde à utiliser une monnaie coloniale. Pour le Pr Issoufou Yahaya, enseignant chercheur à l’UAM, la jeunesse ne doit plus être un instrument de propagande politique, elle ne doit plus servir à peupler les casernes des terroristes, elle ne doit plus être les supplétifs des terroristes. Il préconise à la jeunesse de s’investir dans la recherche du savoir, car explique-t-il, si l’Afrique a été à la traîne, c’est parce que les responsables politiques n’ont pas mis l’accent sur les ressources humaines. « Ils n’ont pas mis l’accent sur le savoir, contrairement à l’Asie. Armez-vous de savoir pour être au rendez-vous », a-t-il ajouté.

Quant au panéliste, M. Nouhou Arzika, président du MPCR, il s’est appesanti dans son analyse de la thématique, sur la genèse historique ayant conduit ces trois peuples et ses trois hommes à la tête de l’AES, d’apporter un changement renversant les anciens régimes.

Hamissou Yahaya (ONEP)

 

Communiqué du Cabinet du Premier ministre : Le Premier Ministre à Riyad pour prendre part aux réunions annuelles du Groupe de la BID

Nigerdiaspora - 30/04/2024

Le Premier Ministre, Son Excellence Monsieur ALI MAHAMAN LAMINE ZEINE, Ministre de l’Economie et des Finances a quitté Niamey en milieu de journée du dimanche 28 avril 2024 pour Riyad en Arabie Saoudite.

Accompagné d’une importante délégation du Ministère de l’Economie et des Finances, il prendra part aux réunions annuelles du Groupe de la Banque Islamique de Développement (BID) prévues du 27 au 30 avril 2024. La délégation comprend :

– Le Ministre Délégué auprès du Premier Ministre Chargé des Finances,

Monsieur MOUMOUNI BOUBACAR SAIDOU ;

– Le Conseiller Spécial, Chef du Département Communication

Monsieur IBRAHIM HAMIDOU ;

– Le Secrétaire Général Adjoint Ministère de l’Economie et des Finances, Monsieur SAMA MAMANE ;

– Le Directeur de la Planification et de la Programmation au Ministère de l’Economie et des Finances Monsieur HAMADOU YAYE ;

– Et le Directeur de la Dette Publique au Ministère de l’Economie et des Finances Monsieur SOUMAILA ABDOU.

Niamey, le 28 avril 2024

ONEP
Source : https://www.lesahel.org

Situation sécuritaire dans la région de Tillabéri: le gouvernement condamne la déclaration du " Comité Union Tillabéri ", le coordinateur de l'association interpellé

Actuniger Société - 03/05/2023


Dans un communiqué dans la soirée du mardi 02 mai 2023 le gouvernement a réagi à la déclaration publique de l'association "Comité Union Tillabéri Pour la paix, la Sécurité et la Cohésion Sociale" du 29 avril dernier dans laquelle les auteurs ont affirmé que, "Le déploiement des Forces étrangères notamment françaises sur les frontières du Burkina Faso et du Mali à partir de notre territoire avec à leurs côtés les mercenaires Tchadiens est fait dans la perspective de lancement d’attaque contre ces deux pays frères et amis". Pour le gouvernement, "ces allégations ne peuvent être tolérées au nom de la liberté d’expression ou d'associations" et a donc décidé de saisir la justice. Selon les informations confirmées par les responsables de l'association, son coordinateur Amadou Arouna Maiga a été interpellé ce même mardi par la Police judiciaire (PJ).

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Forum PRESASS 2023: les grandes tendances de la saison des pluies 2023 pour les zones soudanienne et sahélienne révélées

Actuniger Société - 01/05/2023

Le Palais des Congrès de Niamey a abrité le vendredi 28 avril 2023, l'édition 2023 du Forum annuel de présentation des résultats  des Prévisions Saisonnières des caractéristiques Agro -hydro-climatiques de la grande saison des pluies pour les zones Soudanienne et Sahélienne (PRESASS-2023) à l'initiative du Centre Climatique Régional pour l'Afrique de l'Ouest et le Sahel (CCR- AOS AGRHYMET) et du Centre africain des applications météorologiques pour le développement (ACMAD) en collaboration avec plusieurs institutions et partenaires. Les prévisions saisonnières révèlent une saison des pluies 2023 globalement moyenne à humide attendue au Sahel, avec des dates de démarrage précoces à normales, des dates de fin tardives à normales, des séquences sèches moyennes dans la partie Ouest et à tendance plus longues dans la partie Est et des écoulements globalement excédentaires à moyens dans les principaux bassins fluviaux du Sahel.

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